Les bienfaits du tricot…non mais !

C’est marrant parce que quand j’ai commencé à dresser une liste des sujets d’articles que je voulais publier, celui-ci me paraissait évident. Pourtant j’ai traîné et hésité à l’écrire. Ça ne venait pas…pourquoi ?

La première fois que je lis que le tricot a des effets similaires à ceux d’une séance de méditation, je m’en réjouis et j’en fais lecture à haute voix, espérant ainsi que mon compagnon ou mes enfants comprennent la manie qui m’anime.

 

 

Mais quand je vois revenir les mêmes arguments chaque fois qu’on parle tricot quelque part, je me lasse. Ce n’est pas comme les bienfaits du chocolat, j’aime les relire partout, tout le temps, histoire de conjurer la culpabilité de ce vilain défaut de gourmandise (non c’est une blague, j’assume).

 

 

Ensuite, ceux qui liront cet article sont probablement déjà des mordus du fil, ils ont compris ça depuis longtemps, et comme moi l’ont déjà lu et relu ailleurs. Bon, allez, si ce n’est pas encore fait, je vous renvoie vers le très sérieux magazine psychologie, surtout si vous vous sentez incompris par votre entourage et que vous avez oublié de partager la chose.

Et finalement, le constat n’est pas neuf. On attribue à Sacha Guitry (mort en 1957) la citation suivante : «  Le tricot permet à une femme de penser à autre chose pendant que son mari parle ». Moi je dis, le gars avait déjà tout compris, enfin, sauf que le tricot ne doit pas être réservé qu’aux femmes et qu’on n’a pas besoin que notre mari parle pendant qu’on tricote, non mais !

Quoiqu’il en soit, même si on appréciait déjà le tricot pour des raisons qui nous sont propres, bien avant que des scientifiques ou des journalistes ne s’intéressent à la « tricothérapie » il est toujours bon de savoir qu’on peut plonger sur nos aiguilles quand on a franchement besoin de se vider la tête. Parce que oui, ça marche vraiment, n’est-ce pas merveilleux ?

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